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"La Cité, je suis en retard" de Claus Sauer



Claus Sauer est né en Allemagne en 1963. Sa formation ainsi que son parcours se sont déroulés sur le terrain international, mais surtout en Allemagne et en France. Sa formation englobe, en 1988, l’Ecole Supérieure d’Art de La Havane/Cuba ; en 1991, l’Institut Surikov, Moscou/URSS ; entre 1986 et 1993, l’Académie des Beaux-Arts, Stuttgart/RFA ; et de 1993 à 1994, l’Ecole supérieure des Beaux-Arts de Marseille (bourse de l’OFAJ).

Polyvalent, Claus Sauer participe à des collectifs et associations tels que La Perle, Marseille. En outre, il est membre du conseil d’administration du Château de Servières entre 1997 et 2001, et il intervient dans la programmation artistique de la Mairie des 13e/14e arrondissements de Marseille - Bastide St Joseph.

 

 

Parmi ses expositions personnelles, les plus récentes sont :

• « Le jour J c’est aujourd’hui », Centre Léonard de Vinci, ENAC, Toulouse (2004),

• « Emulation avec la machine », Galerie du Collège du Plantaurel, Mas d’Azil (2004),

• « Ici et ailleurs », salle d’exposition du CMM, Mas d’Azil (2003),

• « Eurochaos », Hôtel de Ferriol, Centre d’art, Cintegabelle (2001),

• « Welcome diaspora Kurdistan », Château de Servières, Marseille (2000),

• « E-SSS, EuropaSkulpturenStraßeSauer », Bad Mergentheim, (2000)

• Kunstforum, Bad Mergentheim, RFA (1999).

 

 

Son installation photographique à la Tangente présente des vues panoptiques sur la Cité. Grâce au « Red Code », terme employé par l’artiste afin de désigner des visions réalistes, court-circuitant des visions alternatives du monde, la lecture se fait sur deux niveaux :

Dans la première série, Extérieurs en Cité, hors de tout contexte temporel et où aucun instant décisif ne se fait remarquer, Claus Sauer propose une simple vision des choses et états de choses, qui sont regardés avec attention.

La deuxième série, intitulée Intérieurs en Cité, suggère une vision de la vie en ville, animée par le désir. Dans ces photographies, « les êtres ont disparu, ce qui reste, ce sont des silhouettes. La perception naturelle n’existe plus, et l’orientation est remplacée par des reflets » colorés. On peut parler d’un spectacle confus.

De la « confrontation en l’installation naît un contexte et c’est de l’espace entre les images que surgit l’information subjective. » (Claus Sauer)

du 1er avril au 8 mai 2005
 

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